Review of 'The Brothers Karamazov' on 'GoodReads'
5 stars
No doubt it's Dostoevskij Masterpiece. The whole essence of the human being in a single piece of writing
The Brothers Karamazov (Russian: Бра́тья Карама́зовы, Brat'ya Karamazovy, pronounced [ˈbratʲjə kərɐˈmazəvɨ]), also translated as The Karamazov Brothers, is the last novel by Russian author Fyodor Dostoevsky. Dostoevsky spent nearly two years writing The Brothers Karamazov, which was published as a serial in The Russian Messenger from January 1879 to November 1880. Dostoevsky died less than four months after its publication. Set in 19th-century Russia, The Brothers Karamazov is a passionate philosophical novel that enters deeply into questions of God, free will, and morality. It is a theological drama dealing with problems of faith, doubt and reason in the context of a modernizing Russia, with a plot that revolves around the subject of patricide. Dostoevsky composed much of the novel in Staraya Russa, which inspired the main setting. It has been acclaimed as one of the supreme achievements in literature.
No doubt it's Dostoevskij Masterpiece. The whole essence of the human being in a single piece of writing
Voilà bien 3 semaines que je traîne les Frères Karamazov. Emploi du temps, épaisseur du pavé, autant de facteurs qui ne font que ralentir mon rythme. Mais qu’en est-il de ma motivation ? Cette traduction parues aux éditions Babel nous est présentée d’emblée comme LA traduction, l’ultime et l’idéale, la plus fidèle au texte de Dostoïevski. Soit, je veux bien le croire, le traducteur a du suer sang et eau pour pondre sa version. Malgré tout, on dirait que globalement il en a oublié son français, à force de vouloir coller au texte original. À moins que le russe ne soit pas traduisible. Je ne sais pas. Toujours est-il que des phrases d’un autre monde telles que “brusquement, il se leva, soudain“, ou bien “des regards tendres mais chaleureux“, moi, au bout de 800 pages (sur 1300 environ) je ne peux plus !
Un peu ça va, mais ce style …
Voilà bien 3 semaines que je traîne les Frères Karamazov. Emploi du temps, épaisseur du pavé, autant de facteurs qui ne font que ralentir mon rythme. Mais qu’en est-il de ma motivation ? Cette traduction parues aux éditions Babel nous est présentée d’emblée comme LA traduction, l’ultime et l’idéale, la plus fidèle au texte de Dostoïevski. Soit, je veux bien le croire, le traducteur a du suer sang et eau pour pondre sa version. Malgré tout, on dirait que globalement il en a oublié son français, à force de vouloir coller au texte original. À moins que le russe ne soit pas traduisible. Je ne sais pas. Toujours est-il que des phrases d’un autre monde telles que “brusquement, il se leva, soudain“, ou bien “des regards tendres mais chaleureux“, moi, au bout de 800 pages (sur 1300 environ) je ne peux plus !
Un peu ça va, mais ce style complètement farfelu me sort par les yeux, c’est lourd, artificiel, pénible et désagréable à lire sur la longueur. Alors je me fais violence et je passe à autre chose, à mon grand regret, car au bout de ces 800 pages l’action vient juste de commencer….Dommage, car l’histoire et les personnages sont attachants, intéressants et complexes, mais les longueurs, les répétitions, les dialogues qui sont loin d’être naturels, et le style biscornu ont eu raison de ma curiosité et de ma patience. Je le terminerai peut-être un jour, qui sait ?!